Résumé:
Western des origines, véritable épopée fondatrice, tantôt lyrique, dramatique ou burlesque, Faillir être flingué est d'abord une vibrante célébration des frontières mouvantes de l imaginaire.
Un souffle parcourt l'espace inhospitalier des prairies vierges du Far-West, aux abords d'une ville naissante vers laquelle toutes les pistes convergent. C'est celui d'Eau-qui-court-sur-la plaine, une jeune Indienne dont tout le clan a été décimé, et qui, depuis, déploie ses talents de guérisseuse aussi bien au bénéfice des Blancs que des Indiens.
Elle rencontrera les frères Brad et Jeff traversant les grands espaces avec leur vieille mère mourante dans un chariot brinquebalant tiré par deux bœufs opiniâtres ; Gifford qui manque de mourir de la variole et qu'elle sauve in extremis ; Elie poursuivi par Bird Boisverd dont il a dérobé la monture, Arcadia, la musicienne itinérante, qui s'est fait voler son archet par la bande de Quibble. Et tant d autres personnages, dont les destins singuliers, tels les fils entretissés d'une même pelote multicolore, composent une fresque sauvage où le mythe de l'Ouest américain, revisité avec audace et brio, s'offre comme un espace de partage encore poreux, ouvert à tous les trafics, à tous les transits, à toutes les itinérances.
Pourquoi ce livre?
Il m'a été prêté par ma maman (voui encore) et il faut absolument que je vide ma bibliothèque des livres que l'on m'a prêté. En plus en décembre pour un challenge on devait livre une histoire qui se déroule en Amérique (ou écrite par un américain), je trouvais que c'était pile dans le thème.
Mon avis:
J'ai eu beaucoup de mal à accrocher.Mon intérêt ne s'est éveillé qu'à la moitié (et encore) de l'histoire. Non pas que je n'aimais pas mais j'étais perdue par l'histoire et par le nombre de personnages.
Certes c'est un roman choral mais un poil trop choral à mon goût. Sur toute la 1ere moitié on suit les personnages un par un. Un coup ils se croisent ou se séparent, puis se trouvent à nouveau seuls. J'ai eu un peu de mal. Et c'était trop chaotique pour moi niveau...je sais pas je ne peux pas dire écriture car l'auteur écrit très bien mais j'ai trouvé ça un peu fouillis.
Par contre à partir du moment où les personnages se retrouvent tous dans la même "ville" naissante typique du far West, là j'ai accroché. J'ai trouvé ça plus drôle et plus sympa. ça m'a plu de voir la ville naître de l'ambition de ces aventuriers en tout genre. J'ai aimé l'entraide entre tous ces nouveaux voisins. Faire en sorte que l'un fonctionne bien pour que tout le monde fonctionne. ça devient une vraie famille. Ils ont certes beaucoup d'à-priori sur les autres mais ils ont bon fond. et on s'attache à eux. Dans toute cette histoire et au milieu de tous ces personnages j'ai beaucoup aimé Zébulon (the poor lonesome cowboy au cœur tendre), Josh (jeune homme sensible prêt à tout pour ceux qu'il aime) et Sally (tenancière au goût marqué pour les arbitrages). Mais les autres sont très touchants aussi.
Finalement une lecture étrange, longue à démarrer, pas désagréable mais plaisant seulement qu'en 2e partie. Des personnages touchants, une belle écriture. Et un récit sur le Far West, ce qui est assez sympa. La première partie me fait quand même baisser la note que je mettrais à cette lecture. Et pour moi il vaut un 3.5/5. Je le conseille quand même pour les passionnés du genre (Far west? chorale?) En prévenant quand même de ce fouillis de 1ere partie.
Western des origines, véritable épopée fondatrice, tantôt lyrique, dramatique ou burlesque, Faillir être flingué est d'abord une vibrante célébration des frontières mouvantes de l imaginaire.
Un souffle parcourt l'espace inhospitalier des prairies vierges du Far-West, aux abords d'une ville naissante vers laquelle toutes les pistes convergent. C'est celui d'Eau-qui-court-sur-la plaine, une jeune Indienne dont tout le clan a été décimé, et qui, depuis, déploie ses talents de guérisseuse aussi bien au bénéfice des Blancs que des Indiens.
Elle rencontrera les frères Brad et Jeff traversant les grands espaces avec leur vieille mère mourante dans un chariot brinquebalant tiré par deux bœufs opiniâtres ; Gifford qui manque de mourir de la variole et qu'elle sauve in extremis ; Elie poursuivi par Bird Boisverd dont il a dérobé la monture, Arcadia, la musicienne itinérante, qui s'est fait voler son archet par la bande de Quibble. Et tant d autres personnages, dont les destins singuliers, tels les fils entretissés d'une même pelote multicolore, composent une fresque sauvage où le mythe de l'Ouest américain, revisité avec audace et brio, s'offre comme un espace de partage encore poreux, ouvert à tous les trafics, à tous les transits, à toutes les itinérances.
Pourquoi ce livre?
Il m'a été prêté par ma maman (voui encore) et il faut absolument que je vide ma bibliothèque des livres que l'on m'a prêté. En plus en décembre pour un challenge on devait livre une histoire qui se déroule en Amérique (ou écrite par un américain), je trouvais que c'était pile dans le thème.
Mon avis:
J'ai eu beaucoup de mal à accrocher.Mon intérêt ne s'est éveillé qu'à la moitié (et encore) de l'histoire. Non pas que je n'aimais pas mais j'étais perdue par l'histoire et par le nombre de personnages.
Certes c'est un roman choral mais un poil trop choral à mon goût. Sur toute la 1ere moitié on suit les personnages un par un. Un coup ils se croisent ou se séparent, puis se trouvent à nouveau seuls. J'ai eu un peu de mal. Et c'était trop chaotique pour moi niveau...je sais pas je ne peux pas dire écriture car l'auteur écrit très bien mais j'ai trouvé ça un peu fouillis.
Par contre à partir du moment où les personnages se retrouvent tous dans la même "ville" naissante typique du far West, là j'ai accroché. J'ai trouvé ça plus drôle et plus sympa. ça m'a plu de voir la ville naître de l'ambition de ces aventuriers en tout genre. J'ai aimé l'entraide entre tous ces nouveaux voisins. Faire en sorte que l'un fonctionne bien pour que tout le monde fonctionne. ça devient une vraie famille. Ils ont certes beaucoup d'à-priori sur les autres mais ils ont bon fond. et on s'attache à eux. Dans toute cette histoire et au milieu de tous ces personnages j'ai beaucoup aimé Zébulon (the poor lonesome cowboy au cœur tendre), Josh (jeune homme sensible prêt à tout pour ceux qu'il aime) et Sally (tenancière au goût marqué pour les arbitrages). Mais les autres sont très touchants aussi.
Finalement une lecture étrange, longue à démarrer, pas désagréable mais plaisant seulement qu'en 2e partie. Des personnages touchants, une belle écriture. Et un récit sur le Far West, ce qui est assez sympa. La première partie me fait quand même baisser la note que je mettrais à cette lecture. Et pour moi il vaut un 3.5/5. Je le conseille quand même pour les passionnés du genre (Far west? chorale?) En prévenant quand même de ce fouillis de 1ere partie.
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